Un créateur TikTok dénonce les propos visant sa femme après leur vidéo sur le prix des billets de Valcartier

Tout a commencé comme une simple conversation entre lui et sa femme, Mari, autour d'une idée bien banale: amener la famille passer une journée au parc aquatique.

Mais quand ils réalisent que la facture grimperait à près de 400 $, et ce, sans même inclure les petits à-côtés comme l'essence ou les repas, l'envie de glissades devient une réflexion plus large sur le coût de la vie et l'accès aux loisirs.

Et pourtant, leur foyer ne manque de rien. Maison confortable, voitures neuves, pas d'insécurité financière à l'horizon. Mais ils font des choix. Ils réfléchissent avant de dépenser, comme bien des gens.

Alors, si eux doivent peser le pour et le contre avant de planifier une simple journée d'amusement, qu'en est-il des familles qui vivent avec encore moins?

C'est cette question, posée par Mari dans une vidéo toute simple, qui a trouvé un écho chez des milliers de personnes, mais aussi déclenché un vent de commentaires hostiles.

La vidéo de Mari est devenue virale, portée par des gens qui se sont sentis vus, compris, validés. Mais il y a toujours une poignée de voix prêtes à dégainer l'insulte derrière l'écran.

Entre critiques acerbes et attaques personnelles, certains se sont permis de juger Mari, non pas pour son message, mais simplement pour avoir osé le partager.

Rey, son mari, s'est alors exprimé pour défendre sa femme et pointer du doigt cette violence numérique, souvent disproportionnée et sans fondement.

Ce qu'il remet en question, ce n'est pas le désaccord. C'est la manière. Depuis quand donner son avis, même sur un sujet aussi anodin que le prix d'une activité familiale, devrait-il ouvrir la porte à autant de haine?

Heureusement, la majorité des retours ont été bienveillants, et c'est à eux que Rey a tenu à s'adresser en priorité.

Pas question pour Mari de se taire, au contraire. Ces événements semblent plutôt lui avoir donné une bonne dose de courage pour continuer à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.