Une jeune Québécoise est sous le choc d'avoir payé ce prix pour une simple sortie aux pommes

En apparence, rien d'extraordinaire: une sortie en fin de semaine avec ses enfants pour cueillir des pommes.

Mais derrière ce moment, censé être simple et accessible, se cache une facture inattendue. Pour une petite boîte de pommes, elle a déboursé 28 dollars.

Ce chiffre, pour elle, résume la spirale actuelle des prix et la difficulté de profiter de petits plaisirs sans se sentir piégé dans des dépenses excessives.

Son récit traduit la surprise et l'incompréhension d'un geste banal qui se transforme en luxe.

Dans sa publication, elle compare le tarif de l'activité à celui de l'épicerie, déjà jugé exorbitant. Elle en parle avec un mélange d'humour et de découragement, révélant un sentiment d'impuissance croissant.

Sa réflexion ne se limite pas à son expérience personnelle: elle interroge plus largement la capacité des familles à maintenir des traditions ou des sorties simples alors que chaque occasion semble coûter plus cher.

Elle interpelle sa communauté en cherchant un écho, du soutien et peut-être des pistes pour continuer à profiter de moments en famille sans se ruiner.

À travers ses mots, on comprend que ce n'est pas seulement le prix des pommes qui la choque, mais bien l'impression d'un quotidien devenu inabordable, même pour les loisirs modestes. Voici ladite vidéo:

La section commentaires de sa vidéo illustre l'ampleur du sujet. Certains internautes relativisent en rappelant que l'autocueillette implique des frais pour les producteurs, d'autres ironisent sur l'ampleur du problème, et quelques-uns suggèrent tout simplement d'arrêter d'y aller.

Plusieurs dénoncent la transformation de l'autocueillette en un événement commercial où l'on paie pour l'expérience plutôt que pour les fruits.

Ensemble, ces réactions montrent que le débat dépasse la vidéo: il reflète un malaise collectif face au coût grandissant des petites traditions et aux choix que chacun doit désormais faire pour équilibrer plaisir et budget.