Voici les secteurs les plus payants pour travailler au Québec en 2025

Certains secteurs offrent aujourd'hui des salaires beaucoup plus élevés qu'on pourrait le croire, de quoi motiver bien des travailleurs à envisager un changement de carrière.

Les chiffres de septembre 2025 montrent que les services publics - notamment l'électricité, le gaz et la gestion de l'eau - dominent le classement, avec un salaire horaire moyen dépassant 54 $.

Ce secteur, souvent méconnu du grand public, surpasse même plusieurs professions prestigieuses comme le droit ou la médecine en termes de rémunération horaire.

Derrière les services publics, les industries de la finance, de l'assurance, de l'immobilier et des services techniques et scientifiques affichent aussi des salaires moyens très compétitifs, oscillant entre 43 $ et 45 $ de l'heure.

Ces domaines, en pleine évolution technologique, recrutent activement des professionnels qualifiés et offrent des avantages sociaux considérables.

Plus surprenant encore, certains métiers liés à l'énergie, à la construction spécialisée et aux technologies vertes connaissent une croissance fulgurante des salaires, stimulée par la demande croissante en infrastructures durables et en transition énergétique.

Pour les travailleurs en quête de stabilité et d'avancement, ces secteurs représentent de véritables tremplins.

De plus en plus de Québécois choisissent d'investir dans la formation continue ou les programmes de requalification afin d'accéder à ces emplois mieux rémunérés.

Les données de Statistique Canada confirment que le marché du travail québécois demeure dynamique, mais aussi très compétitif.

Si certains domaines traditionnels plafonnent, d'autres - souvent moins médiatisés - offrent une progression rapide et des salaires bien au-delà de la moyenne provinciale. Vous pouvez voir la liste complète de nos amis de Narcity en visitant ce lien.

Pour plusieurs, ces chiffres pourraient être le déclic nécessaire pour changer d'environnement de travail et relever de nouveaux défis.

Après tout, dans un contexte d'inflation persistante et de rareté de main-d'oeuvre, viser plus haut n'a jamais été aussi pertinent.