« Eh bien, moi, je pars le matin. (...) La réalité du 98,5, c'est qu'à l'automne, c'est quatre nouvelles émissions dans la grille-horaire. C'est beaucoup de remue-ménage, ça peut amener des conflits. (...) J'ai déjà eu des confrontations, des conflits avec des gens. Ce n'est pas toujours calme, ce n'est pas toujours l'eau douce, ça peut arriver, en 34 ans de radio, c'est arrivé. J'ai déjà mis fin à des ententes avec des collaborateurs pour des raisons stratégiques, avec l'assentiment de la direction. Ça brise des amitiés, on n'aime pas ça... C'est sûr qu'il y a un climat, je dirais de tension, mais en même temps, quand j'ai commencé il y a 34 ans, j'aurais probablement été congédié au bout de 6 mois, parce que je n'étais pas bon. Alors je dirais aux animateurs de ne pas écouter les critiques, et aux patrons de les laisser travailler... »