Luc Poirier affirme que perdre sa fortune ne serait pas un drame pour lui
Crédit photo: Facebook - Luc Poirier
Dès le 12 juin, Luc le milliardaire? débarque sur Crave. Cette nouvelle docusérie, animée par Pierre-Yves McSween, braque les projecteurs sur le quotidien coloré de Luc Poirier, un personnage bien connu du public québécois depuis sa participation à Occupation Double.
HollywoodPQ a dévoilé certains détails croustillants, confirmant que la série devrait piquer la curiosité de bien des téléspectateurs.
Les trois premiers épisodes, rendus accessibles en avant-première, plantent un décor aussi extravagant qu'inattendu.
Entre voitures de luxe, rythme de vie effréné et confidences parfois déroutantes, le ton est rapidement donné.
Luc Poirier ne s'embarrasse pas de faux-semblants et parle franchement, même quand il est question d'argent.
Un rapport à l'argent qui fait réfléchir
Dans l'un des premiers épisodes, on assiste à une scène marquante où
Pierre-Yves McSween discute avec Luc à bord d'une Ferrari qui ferait tourner bien des têtes.
C'est là que Luc, dans un moment d'honnêteté brute, explique que la perte de sa fortune ne le ferait pas chavirer:
« Non, je ne suis pas matérialiste. Je perdrais tout, puis ce n'est pas la fin du monde. Par contre, l'argent me permet d'avoir la liberté. Puis ça, par contre, j'aimerais ça jamais ne perdre ça. »
Selon ce qu'on peut lire sur
HollywoodPQ, il voit l'argent comme un outil de liberté, plus que comme une finalité en soi.
Ce passage donne le ton: la série ne se limite pas à exposer la richesse, elle soulève aussi des questions sur le rapport qu'on entretient avec celle-ci.
D'ailleurs, l'homme d'affaires admet dépenser environ un million de dollars par mois, ce qui laisse peu de doute sur l'ampleur de son train de vie.
Luc Poirier, entre excès et authenticité
Tout au long des épisodes visionnés, un contraste s'installe: entre les symboles de richesse et un discours qui semble vouloir s'en détacher.
C'est ce paradoxe qui rend Luc le milliardaire? aussi fascinant. HollywoodPQ mentionne que l'émission mélange moments de luxe, réflexions plus profondes et interactions spontanées.
Luc Poirier n'est peut-être pas ce qu'on attend d'un « milliardaire » typique. Il se présente tel quel, parfois déstabilisant, parfois surprenant.
Une chose est sûre: cette série ne laisse pas indifférent et ne suit pas les codes habituels des portraits de gens fortunés. Elle prend plutôt le pari de révéler l'humain derrière l'image.
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