Ludivine Reding dévoile son crush d'enfance
Crédit photo: Instagram
Dans une récente entrevue accordée au magazine 7 Jours, Ludivine Reding s'est livrée avec authenticité et beaucoup d'humour sur son parcours, ses souvenirs cocasses, et ses inspirations.
Entre confidences mode, rumeurs persistantes et coups de coeur de jeunesse, la comédienne s'est montrée sans filtre et franchement attachante.
Un rôle iconique qu'elle aurait adoré incarner
Quand le 7 Jours lui demande quel rôle de la télé québécoise elle aurait aimé jouer, Ludivine n'hésite pas :
« Ah, dans Les Lavigueur, le rôle de Laurence Leboeuf. C'est tellement bien joué, j'ai trouvé la série excellente, donc j'aurais aimé ça. »
Un aveu rempli d'admiration pour l'interprétation magistrale de Laurence Leboeuf et un clin d'oeil à une oeuvre télévisuelle marquante qui continue de résonner chez le public et visiblement chez les comédiennes d'aujourd'hui.
Des souvenirs de tapis rouge pas toujours glorieux
Interrogée sur un style de tapis rouge qu'elle regrette, Ludivine Reding assume avec franchise :
« Aux Gémeaux en 2018, on m'avait mis des rallonges blondes. C'était cool, mais ça ne me représente plus tant. Puis j'avais une robe avec des plumes en arrière. Je l'assumais totalement à l'époque, mais maintenant je regarde ça et je me dis : "On dirait que ce n'est pas moi!" »
Comme quoi, même les vedettes peuvent revoir certaines décisions de style avec un sourire un peu gêné.
Une rumeur tenace et récurrente
Quand vient le temps de parler de rumeurs, Ludivine éclate de rire.
Elle explique qu'on l'a souvent associée sentimentalement à plusieurs de ses amis proches :
« Kevin Raphael, Dominik Dagenais, Guillaume Gauthier tous mes amis avec qui je suis sur un tapis rouge ou dans la vie, il y a eu des rumeurs comme quoi c'était mes chums. »
Une situation bien connue des célébrités, mais qui semble aujourd'hui plutôt l'amuser.
Une audition ratée (et hilarante) à 5 ans
Impossible de ne pas sourire à son anecdote d'audition d'enfance :
« Je me suis mis les deux doigts dans le nez à l'audition. Je ne faisais rien de ce qu'ils m'ont demandé. Mes parents se disaient : «Bon, elle ne veut clairement pas faire ça.» »
Heureusement, elle a fini par trouver sa voie!
Les premiers crushs : du pur Québec nostalgique
Enfin, Ludivine se souvient de ses premiers émois de jeunesse :
« Vers la fin du primaire, je trippais sur Joey Scarpellino à cause de l'émission Les Parents. Sinon, je trippais sur le personnage de Yan England dans Une grenade avec ça. »
Des références qui parleront à toute une génération d'adolescents québécois.
À travers cette entrevue savoureuse, Ludivine Reding montre encore une fois qu'elle n'a pas peur de rire d'elle-même mais et c'est ce qui la rend aussi rafraîchissante.
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