Olivier Primeau fait réagir en disant que 120 000$ par année ne suffit plus pour vivre au Québec en 2025

Rapidement, les réactions ont fusé. Certains étaient d'accord, d'autres carrément indignés. Primeau a pris le temps d'expliquer son point de vue.

Pour lui, avec l'hypothèque qui coûte une fortune, l'épicerie qui vide le portefeuille chaque semaine, les voitures qui grugent des milliers de dollars par année, sans oublier les frais reliés aux enfants et aux services de base, il estime que les dépenses engloutissent déjà une grande partie du revenu.

À cela s'ajoute la question de l'épargne, pratiquement impossible à maintenir pour plusieurs familles. Son constat, selon lui, c'est que 120 000$ permet de flotter à la surface, mais pas vraiment de bâtir quelque chose de solide pour l'avenir.

Voici sa publication qui a fait réagir:

Évidemment, les internautes n'ont pas tardé à réagir. Pour certains, il a tout à fait raison: le coût de la vie a tellement explosé que, même avec deux bons salaires, les économies disparaissent entre une facture de dentiste et un toit qui coule.

D'autres trouvent exagéré de dire qu'on ne peut pas s'en sortir, rappelant qu'avec moins que ça, ils arrivent tout de même à vivre correctement, quitte à faire quelques compromis.

Les réactions laissent voir un gros clivage. D'un côté, il y a ceux qui trouvent qu'avec 120 000$ on arrive à payer les factures de base, mais qu'il ne reste presque rien pour mettre de côté, voyager ou penser à la retraite.

De l'autre, certains disent que ça dépend surtout du style de vie qu'on choisit, qu'en vivant plus simplement, c'est jouable. Entre les deux, plusieurs racontent devoir additionner deux emplois juste pour survivre, alors que d'autres pointent directement le système économique, où les profits des compagnies explosent, mais les salaires stagnent.

Au final, le message de Primeau a ouvert une grosse discussion: est-ce que 120 000$ par année pour un ménage, en 2025, c'est un revenu suffisant ou pas?

Chose certaine, le sujet touche une corde sensible et reflète une réalité bien différente selon qu'on vit seul, en couple, en famille, en ville ou en région.