« Sans être faux [le documentaire] ne représentait que 5 % de la tarte. Le cas de Serge est beaucoup plus complexe que ça. »
« Ce n'est pas que je n'ai pas aimé [le film], mais c'était incomplet. C'était prétentieux de présenter ça comme un portrait de Serge ou un portrait de l'état de Serge, alors que c'est bien plus compliqué que cela. Le grand reproche, pour moi, c'est la fin du film qui est complètement fausse. Il est allé en traitement, mais ça n'a pas duré. »