« Honnêtement, on a été la première génération à avoir la drogue en vente libre. Avant nous, la drogue, l'héroïne, c'était réservé aux jazzmen afro-américains. Personne n'en prenait. Certains prenaient de l'opium, mais ce n'était pas courant. »
« C'est ce que j'ai fait de plus dur dans ma vie. L'héro, au début, on en prend pour être bien, puis au bout d'un moment, on en prend pour ne pas être mal. »
« Moi, j'ai quitté la France, je n'ai pas voulu médicaliser le truc. Je n'ai pas voulu aller à l'hôpital prendre de la méthadone et tout ça. Je ne voulais pas me considérer malade, ce qui était le cas malheureusement. Je suis parti aux États-Unis dans un endroit où j'étais sûr de ne pas en trouver. Mais j'en ai chié pendant trois mois. »