«Je vis cela avec une certaine égalité d'humeur. Je ne trouve pas ça compliqué. J'ai eu des changements de décennie beaucoup plus pénibles que celui-là. Quand je suis arrivé à 60 ans, j'avais trouvé ça extrêmement pénible. C'était la constatation du vieillissement, de la fin de parcours. Ce coup-ci, je trouve ça pas si mal, c'est bien!»