« J'ai un coffre parce que, comme il était vivant [...] on a eu sa carte d'assurance maladie, on a un petit bracelet qu'il avait à l'hôpital, on l'a fait ondoyer. J'ai le petit coquillage sur lequel on a versé l'eau. Alors chaque 24 décembre, à 16h20, l'heure qu'il est décédé, j'ouvre le coffre et »