« Mon père n'est pas décédé de la maladie, mais de complications liées à ça. Sans ça, il aurait pu vivre encore longtemps. Il a été député, politicien et journaliste, et la maladie a en effet été très difficile pour lui. Je sais qu'il pleurait souvent. Pour les gens qui vivent avec une démence, ne plus se rappeler qui est la personne à qui ils sont en train de parler, ça doit créer une angoisse épouvantable. Heureusement, dans le film, on aborde le tout avec humour, alors ça aide un peu. »