« Si on remplaçait dans ce dialogue de troglodytes radiophonique le prénom d'Arlette par celui de Safia, on se rapprocherait davantage de la vérité. Dans le film, une Arlette intoxiquée se sert abondamment de l'alcool et de son charme pour enjôler des députés d'arrière-ban et les rallier à sa cause. Mais elle ne termine pas la soirée en les mordant, les giflant, les embrassant ou les agrippant sans leur consentement... »
Sur la question du retour de Maripier à la vie publique, Marc Cassivi a dit :