« C'était il y a un mois précisément... Le mercredi 2 février... Un cas de COVID... En plein milieu d'une semaine de tournage... Avec du matériel déjà tourné et des histoires incomplètes qui fonctionnent moins bien qu'anticipées. Comble de malchance, le covidé est le personnage centrale d'une histoire qui s'étend sur deux semaines. Il sera absent pour dix jours. Rencontre au sommet. Seule solution possible, suspendre la diffusion de la série pendant les olympiques. On pense, on réfléchit, on se ravise... On sauvera le matériel, on réécrira des bouts d'histoires, on fera des choix différents au montage. »
« Impossible aussi pour nous de tourner les textes prévus pour la semaine suivante, le covidé n'y sera pas. Nous sommes le mercredi, on se retrousse les manches, on réécrit quatre épisodes que la réalisation "dépouille" à une vitesse folle, on refait les horaires de tournage, les comédiens apprennent les textes le dimanche, le casting se fait au fur et à mesure. La machine roule à fond de train. Ce n'est ni de la vantardise, ni du "pétage de bretelles". C'est la réalité d'un plateau de tournage d'une quotidienne en temps de pandémie. »