L'ex-animateur de télévision a expliqué comment il a pris la décision déchirante de faire amputer sa jambe droite :
« À un moment donné, à cause des douleurs chroniques, les médecins m'ont dit : « Il faut qu'on ampute ta jambe droite ». Et je leur ai dit à huit reprises : « Oubliez ça, je ne vous dirai jamais OK » . Et un jour, j'étais dans une crise de spasmes à Québec et celui qui était proche de moi il était assis et il avait sa tête sur mon épaule et il m'a dit : « Tu sais Michel, j'aime mieux avoir un chum à qui il manque un membre que de ne pas t'avoir du tout ». Alors là, j'ai dit : « Allez-y. Je vous autorise à l'amputation, mais ce que je vous dis là, je ne vous le dirai plus jamais. Faites ça vite! ». Le moment le plus difficile, ç'a été quand je me suis réveillé et quand j'ai pris conscience que je n'avais plus ma jambe droite. [] Ça m'a pris du temps à accepter ça. »