Élisabeth Rioux dans l'eau chaude?
Depuis de nombreuses années, l'influenceuse Élisabeth Rioux gagne sa vie en créant du contenu sur le web. De plus, elle possède la compagnie Hoaka Swimwear qui fonctionne très bien.
Toutefois, lors d'une vente d'entrepôt cet été à Blainville, plusieurs personnes avaient remarqué qu'aucune taxe ne figurait sur les factures. De plus, il n'était pas possible de payer avec une carte bancaire, seul l'argent comptant était accepté.
À ce moment, le site QcScoop avait rapporté les propos d'Élisabeth :
« Le système ne fonctionnait pas ce matin-là. Et ça va plus vite en payant cash. C'est pour ça qu'on demandait de payer en argent et pas en carte. »
« On l'écrit [l'argent comptant], car on a de trop longues files d'attente (environ 4-5 heures d'attente). Ça va plus vite au moment du paiement quand c'est en argent comptant, car on met des montants ronds. Mais on a toujours la machine avec nous quand même depuis environ deux ans. »
« On l'écrit [l'argent comptant], car on a de trop longues files d'attente (environ 4-5 heures d'attente). Ça va plus vite au moment du paiement quand c'est en argent comptant, car on met des montants ronds. Mais on a toujours la machine avec nous quand même depuis environ deux ans. »
Problème
Le problème est que personne ne semble en mesure de retracer une facture Hoaka qui inclut des taxes. Des journalistes du journal Le Soleil ont enquêté à ce sujet.
Pour information, toute compagnie basée au Québec, qui fait un chiffre d'affaires supérieur à 30 000 $ au cours d'un trimestre ou pour l'ensemble des quatre trimestres précédents, est obligé de percevoir les taxes sur ses ventes.
Et ce, peu importe la devise de vente (Hoaka utilise les $US en ligne). Pour les curieux, voici le détail des règles.
Il est également permis de charger un montant taxes incluses à se clients. Ce qui doit être correctement indiqué. Dans le cas d'Élisabeth Rioux, QcScoop confirme que c'était bien le cas lors de sa vente d'entrepôt, mais pas sur le site de Hoaka.
Une situation qui provoque une tonne de réactions sur les réseaux sociaux. D'ailleurs, l'un des animateurs du podcast Prends un break a adressé la situation :
Une histoire à suivre.
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Source: QcScoop
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