« La chose que je regrette, c'est comment ça se fait. Moi, ce que je regrette, c'est qu'il n'y a pas de solutions de justice. C'est cela qu'on apprend avec l'article []. Tout le monde ici, je pense qu'on est d'accord à ce qu'on aimerait bien qu'il y ait une solution judiciaire pour que les victimes puissent parler, puissent se sentir écoutées et protégées, et qu'en plus, le présumé agresseur puisse ensuite retourner à la réalité, retourner à sa vie, retourner à une vie normale. Aucune personne là-dedans voudrait que Julien souffre en ce moment, deux ans plus tard, souffre autant qu'au début, souffre tout court. Personne ne veut cela. »