Une femme sur TikTok dit que, pour elle, travailler 40 h par semaine c'est trop difficile

Le dimanche, l'angoisse embarque comme une chape de plomb. La semaine s'annonce, le coeur se serre, le sommeil devient léger.

Le cycle est toujours le même: cinq jours à appréhender le boulot, un court souffle le vendredi soir, puis l'épuisement qui coupe court aux plans.

Le samedi offre un vrai moment de liberté, mais le dimanche, la peur revient et tout recommence.

Cette routine gruge l'énergie et la joie. Elle a investi des années d'études pour décrocher un diplôme, mais se rend compte que la stabilité promise ne compense pas le malaise quotidien.

Elle s'arrête, calcule, et décide de revoir sa trajectoire. En observant ce qui se fait en ligne, elle voit des gens bâtir une autonomie grâce à la création de produits numériques et au marketing d'affiliation.

Ce n'est pas une solution magique, mais c'est un chemin qui redonne de la marge de manoeuvre. Elle veut apprendre ces outils, tester des idées et monter quelque chose qui lui ressemble.

Son histoire parle de santé mentale, de valeur du temps et d'un système qui use bien du monde, surtout chez les jeunes qui entrent sur le marché avec des attentes élevées et peu de reconnaissance.

Travailler jusqu'à 70 ans avec une boule dans la gorge chaque fin de week-end, pour elle, ce n'est plus envisageable. Elle préfère tenter un virage plutôt que d'endurer un quotidien qui l'étouffe.

Voici sa vidéo (en anglais uniquement):

Le message n'est pas de tout lâcher du jour au lendemain. Il est question de reprendre du contrôle, d'explorer des avenues où l'effort investi peut rapporter autrement qu'en heures pointées.

Au fond, son témoignage sert de rappel: on a le droit de protéger son bien-être et de revoir ses priorités. Chercher un meilleur équilibre entre le travail et la vie personnelle n'est pas un caprice.

C'est une démarche lucide pour éviter de s'éteindre à petit feu et, surtout, pour retrouver la motivation d'aller de l'avant.