Une fille dit pourquoi les nouvelles générations boudent le classique 40 heures et ça fait réagir
Crédit photo: TikTok
La Génération Z bouscule les repères du travail comme vous les connaissez. Sur TikTok, une créatrice appelée Mik résume bien ce virage: selon elle, refuser la semaine de 40 heures n'a rien à voir avec la paresse; c'est un calcul lucide, autant financier que personnel.
Vous voyez le portrait: des jeunes hyperconnectés, débrouillards, qui apprennent vite à gérer leur budget et qui constatent qu'ils peuvent bâtir leur propre revenu en moins d'heures en lançant un petit commerce, en offrant des services en ligne ou en créant du contenu.
Travailler davantage pour quelqu'un d'autre, pour un résultat comparable, leur semble de moins en moins logique. Les chiffres appuient ce sentiment.
Un sondage Gallup mentionné par Mik indique qu'une minorité de travailleurs réalise encore une semaine « classique » de 40 heures, alors qu'une part non négligeable grimpe à 60 heures et plus.
Si vous additionnez le salaire souvent jugé insuffisant, la fatigue qui s'accumule et des milieux parfois nocifs pour la santé mentale, vous obtenez un cocktail qui pousse à chercher autre chose.
Les jeunes ne veulent plus travailler 40 heures semaine
La réaction de cette génération est simple: elle privilégie l'autonomie, le contrôle de son horaire et des objectifs de carrière alignés avec ses valeurs.
Au lieu d'embrasser l'idée qu'il faut s'épuiser pour « réussir », plusieurs misent sur des modèles de travail flexibles, sur la multiplication de petits mandats et sur la création de projets personnels.
Voici le résumé de la vidéo de Mik qui n'est plus disponible en ligne, faite par @yourtango (en anglais uniquement):
Vous remarquerez aussi un pragmatisme assumé: moins d'illusions sur le système économique, plus de volonté de négocier ses propres règles. Cette posture ne rejette pas l'effort; elle refuse surtout l'usure inutile.
En pratique, cela veut dire des parcours non linéaires, des contrats à la pièce, des semaines modulées selon la charge et, surtout, une vigilance accrue face au risque d'épuisement.
Bref, la Génération Z redessine les contours de la réussite professionnelle en mettant la liberté et la qualité de vie au coeur de l'équation. Reste à voir comment les organisations s'ajusteront.
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